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Autre

Moi j'ai été victime d'acte criminelle en 2013 . J'ai du réapprendre a marcher. En démarches je me suis rendue jusqu'au tribunal administratif du Québec. A l'audience l'enquêteur était présent il a temoignê et a même déposé un CD en preuve que le juge devait regarder seul dans son bureau pour m'éviter de revivre certains traumatismes . Dans mon jugement , le juge ne fais ni mention de l'enquêteur ni même mention du CD qu'il devait regarder . Pour aller a l'encontre du jugement les coûts sont si énormes que je n'ai même pas pu exercer mon. Droit a la justice en prétextant que le jugement n'avait pas pris en considérations toutes les preuves déposées ni même le témoignage de l'enquêteur. Je suis extrêmement déçue de la justice quand je pense que l'un de mes agresseur a été indemnisé par la saaq , suite un une poursuite policière qui s'est mal terminée , et ce même en étant détenu. Justice pour tous ...Laissez moi vous dire que je n'y crois pas un seul instant . Merci

1 Commentaire

  1. Michel, Victoriaville17 déc. 2018

    Le problème dans ton cas est le même que dans le mien et bien d’autres. Trop de juges, de greffiers et autres officiers de justice rémunérés pour servir la population abusent de leur pouvoir sans avoir à s’inquiéter le moins du monde puisque si jamais un citoyen a la force et le courage de porter plainte, la plainte ne sera pas retenue et ce malgré la présentation de preuves irréfutables. Toutes les réponses que j’ai reçues suite à mes plaintes démontraient tour à tour une absence total de respect pour la justice. Ces réponses me servent de à prouver que le ministère dissimulent des actes criminels. Il serait profitable pour tous que le ministère s’attarde aux témoignages présentés sur ce cite et qu’il nous explique publiquement que nos allégations de corruption et d’abus de pouvoir ne sont pas fondées. Et si il ne peut nous démontrer que nous sommes dans l’erreur, cela voudra tout simplement dire qu’il y a bien de la corruption et de l’abus de pouvoir au sein du ministère de la justice.

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